Les IDE Dans Les Industries Extractives: Quelle Transparence pour un Meilleure Attractivité
24 May 2016 • 8:30AM EDT
Patricia Karam, directrice du Moyen-Orient et Afrique du Nord du NRGI, sera un conférencier à cet événement. Plus d'informations ici.
De par ses impacts sur les fondamentaux socio-économiques, le secteur de l’industrie extractive suscite grande attention autant des décideurs politiques que des investisseurs, d’autant plus que ce secteur renferme les principales niches exposées à la corruption.
Bien que le gouvernement œuvre à instaurer les règles de bonne gouvernance et de transparence, ce secteur demeure mal géré, affectant considérablement l’attractivité du site Tunisie. Cette attention portée sur l’attractivité de la Tunisie dans le secteur des industries extractives se justifie par la montée des apports d’IDE orientés vers les ressources naturelles dans les pays en développement.
Dans ce cadre, l’IACE en collaboration avec le NRGI a étudié l’impact de la transparence sur l’attractivité de l’investissement direct étranger. Cette étude s’est basée sur l’élaboration d’une enquête lancée auprès d’un échantillon de 100 entreprises opérant dans l’industrie extractive. Cette publication met en exergue les entraves à l’essor de l’attractivité du site Tunisie ainsi que le rôle de la transparence dans la promotion du secteur extractif.
Ainsi, les débats se focaliseront sur le diagnostic de l’état actuel en matière d’attractivité en mettant l’accent sur les handicaps du secteur extractif en Tunisie, l’insuffisance des efforts menés en matière de gouvernance et de transparence, en abordant les initiatives OGP et ITIE dont le processus d’adhésion reste jusqu’à présent inabouti. La troisième séance sera l’occasion d’aborder les obstacles et les difficultés de la nouvelle constitution à mettre en place les dispositions réglementaires garantissant la transparence afin de favoriser l’attractivité de la Tunisie dans ce secteur.
Les débats se dérouleront en présence d’acteurs majeurs directement impliqués dans la mise en place des normes de bonne gouvernance et de lutte contre la corruption, des opérateurs économiques, des politiciens, des représentants de l’ARP et experts internationaux dont nous citons : M. Mongi MARZOUK , Ministre de l’Energie et des Mines , M. Ameur LARAIEDH, Président de la Commission de l’énergie à l’ARP, M. Mohamed AKROUT, PDG de l’ETAP, M. Bernhard SCHLAGER, Directeur Général d’OMV Tunisie, M. Pablo VALVERDE, responsable pays pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord au Secrétariat international de l’ITIE, M. Abdelaziz KOTTI, député ARP, et M. Mark LIEBSTER, Directeur Général de Shell Tunisie.
La conférence sera clôturée par un déjeuner débat portant sur les difficultés de la mise en place de la nouvelle constitution et leurs impacts sur l’attractivité des Industries Extractives, animé par M. Anis Morai et en présence de nos invités d’honneur M. Mongi Marzouk et M. Ameur Laraiedh.
De par ses impacts sur les fondamentaux socio-économiques, le secteur de l’industrie extractive suscite grande attention autant des décideurs politiques que des investisseurs, d’autant plus que ce secteur renferme les principales niches exposées à la corruption.
Bien que le gouvernement œuvre à instaurer les règles de bonne gouvernance et de transparence, ce secteur demeure mal géré, affectant considérablement l’attractivité du site Tunisie. Cette attention portée sur l’attractivité de la Tunisie dans le secteur des industries extractives se justifie par la montée des apports d’IDE orientés vers les ressources naturelles dans les pays en développement.
Dans ce cadre, l’IACE en collaboration avec le NRGI a étudié l’impact de la transparence sur l’attractivité de l’investissement direct étranger. Cette étude s’est basée sur l’élaboration d’une enquête lancée auprès d’un échantillon de 100 entreprises opérant dans l’industrie extractive. Cette publication met en exergue les entraves à l’essor de l’attractivité du site Tunisie ainsi que le rôle de la transparence dans la promotion du secteur extractif.
Ainsi, les débats se focaliseront sur le diagnostic de l’état actuel en matière d’attractivité en mettant l’accent sur les handicaps du secteur extractif en Tunisie, l’insuffisance des efforts menés en matière de gouvernance et de transparence, en abordant les initiatives OGP et ITIE dont le processus d’adhésion reste jusqu’à présent inabouti. La troisième séance sera l’occasion d’aborder les obstacles et les difficultés de la nouvelle constitution à mettre en place les dispositions réglementaires garantissant la transparence afin de favoriser l’attractivité de la Tunisie dans ce secteur.
Les débats se dérouleront en présence d’acteurs majeurs directement impliqués dans la mise en place des normes de bonne gouvernance et de lutte contre la corruption, des opérateurs économiques, des politiciens, des représentants de l’ARP et experts internationaux dont nous citons : M. Mongi MARZOUK , Ministre de l’Energie et des Mines , M. Ameur LARAIEDH, Président de la Commission de l’énergie à l’ARP, M. Mohamed AKROUT, PDG de l’ETAP, M. Bernhard SCHLAGER, Directeur Général d’OMV Tunisie, M. Pablo VALVERDE, responsable pays pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord au Secrétariat international de l’ITIE, M. Abdelaziz KOTTI, député ARP, et M. Mark LIEBSTER, Directeur Général de Shell Tunisie.
La conférence sera clôturée par un déjeuner débat portant sur les difficultés de la mise en place de la nouvelle constitution et leurs impacts sur l’attractivité des Industries Extractives, animé par M. Anis Morai et en présence de nos invités d’honneur M. Mongi Marzouk et M. Ameur Laraiedh.